Le « Petit Ambertois » ne s’implique pas dans les élections municipales à Ambert, comme l’indique le dernier article sur le blog : http://lepetitambertois.org/des-reponse-a-vos-questions/ : une seule communiste encartée au final, non éligible sur la liste soutenue par André Chassaigne. Et oui…
Par contre, dans ce même article, les propositions pour le devenir d’Ambert sont impressionnantes : que des dépenses et des créations d’emplois ou presque ! Pas de jaloux, dans tous les domaines : pompiers, centre de vacances, boîte de nuit..
Effectivement cela fait rêver, et on a tous envie de voir se réaliser tout cela ; sauf que, juste en passant, l’argent on le prend où ? En reprenant la gestion de l’eau à ces affreux capitalistes locaux de VEOLIA, en diminuant les taxes foncières et la taxe d’habitation, en dépensant pour le domaine nordique (ça n’existe plus, c’est le syndicat mixte des activités de pleine nature, et c’est financé par la communauté de communes et non la mairie…) et en contrôlant mieux l’utilisation des subventions aux association (là encore compétence intercommunale)… C’est un peu court, non ?
Allons, allons amis communistes, qu’avez-vous fait du réalisme démocratique ? Décidément, tout se perd. Si l’on doutait du désengagement local du député André CHASSAIGNE, on en a là l’illustration.
A Ambert au Centre, même nous sommes parfois moqueurs, reconnaissons au moins qu’une réflexion a été engagée dans la section du PCF Marcel MARCON pour faire avancer les choses ; toutes nos salutations démocratiques donc, au Petit Ambertois, dont nous ne doutons pas qu’il saura avec humour renvoyer la balle… au centre !
http://ambertenpolitique.org : Ici on fait de la politique - le site de ceux qui refusent les extrêmes et s'engagent vraiment. 
En lisant votre dernier texte de dénigrement du PCF (une vieille habitude, sans doute?) j’ai cru m’être trompé en rédigeant mon article sur la liste conduite par Véronique Faucher.
Je me suis relu, mais non, vous êtes bien hors sujet, monsieur Sauvade, votre complexe de supériorité vous a une nouvelle fois trahi, vous avez mal lu, ou mal compris : ce que vous prenez pour le programme, c’est le souhait exprimé par les ambertois qui ont répondu à notre questionnaire, concernant la prochaine mandature.
Quant aux « affreux capitalistes » je vous laisse la responsabilité de cette expression, je n’ai rien exprimé de tel, même si je considère qu’il s’agit de libéraux bon teint qui se gavent, ce qui est dénoncé par bien des équipes municipales qui ne sont pas toutes composées d’horribles-rouges-le-couteau-entre-les-dents…
Bonjour Gérard,
J’ai bien compris qu’il s’agit des attentes des Ambertois ayant répondu au questionnaire au sujet des attentes de la mandature. Il ne s’agit évidemment pas du programme de l’un ou l’autre candidat puisque le PCF s’en détache.
Cela signifie donc que la section Marcel Marcon n’adhère pas à ces revendications exprimées par les Ambertois ? J’avoue ne plus m’y retrouver si c’est le cas, et je reconnais alors bien volontiers être hors sujet.
Quant au complexe de supériorité, je vous rassure, j’ai suffisamment de gens autour de moi qui le ferait passer si par malheur cela m’arrivait…. heureusement. Oublions cela, je pense.
Sur les « libéraux qui se gavent », j’avoue enfin être assez perplexe sur ces expressions mélenchoniennes qui servent plus à monter les gens les uns contre les autres.
Merci en tous cas de cette réponse rapide.
Vous exagérez !
Vous déformez les propos d’un sondage lancé auprès des lecteurs d’un site politique concurrent …
C’est inélégant, mesquin et indigne de gens qui prétendent faire de la politique autrement.
Et puis, vous savez comment sont les gens : beaucoup d’idées mais personne pour ouvrir le porte-monnaie pour le financement …
La promesse tenue:
Le jeune fils de notre ami le huron revint de l’école très bien noté. Son père lui dit demande moi ce que tu veux.
L’enfant ému, connaissant la pauvreté de son père, lui demanda un délai jusqu’au matin.
C’est très bien dit le huron à demain.
Au petit matin le fils demanda à son père un petit âne.
Ah non dit le père tu ne l’auras pas.
Mais tu avais promis de me donner ce que je voudrais?
J’ai tenu parole, tu m’as demandé un délai et tu l’as eu.