Pour se développer un territoire à besoin de créer des emplois. Sur notre territoire il est évident que les communications, trains et routes, présentent un déficit structurel.
De ce fait les entreprises qui souhaiteraient se délocaliser sur notre territoire hésitent, reculent et vont voir ailleurs car l’entreprise n’est pas un organisme social mais un organisme dont la base est le profit.
Alors me direz-vous que pouvons nous faire?
Lorsque l’on regarde notre territoire on constate une chose évidente, c’est le bon vivre, pas de polution, une « bouffe » de qualité, alors pourquoi le tourisme est-il si peu répandu chez nous?
Pourquoi,au lieu de réclamer sans arrêt des aides à fond perdus, ne pas demander au département, à la région, des aides pour développer le tourisme. Rendre plus attrayant l’accueil que ce soit au niveau des campings des hôtels. Comme moi vous avez lu l’article sur la montagne ou l’association AGRIVAP se plaint des résultats médiocres et ou l’article explique que en 2015 cela sera pire.
On va me rétorquer que l’on ne m’a pas attendu pour prendre conscience de ce déficit touristique de notre territoire, mais alors, vous qui étiez au commande, il me semble bien que le département agit sur le tourisme, qu’avez vous fait pendant ces 20 dernières années à ce sujet.
Le toursime est créateur d’emploi, le développement de notre terrain d’aviation local peut être aussi créateur d’emploi, pourquoi ne permet-on pas à ceux qui ont des idées de les aider à les mettre en oeuvre?
Par exemple il me semble que dans notre bassin nous avons un champion du monde de vol ULM, qui, si on le lui demandait, pourrait mettre en oeuvre un développement sportif de sa spécialité, non?
Avant de pleurer sur notre sort, avant de croire que l’on va mourir, avant d’attendre que les autres viennent à notre secours, demandons nous ce que nous pouvons faire pour notre territoire.
Alors excusez moi de vous mettre la pression, mais Valérie et Michel on compte sur vous pour enfin débloquez ce système qui se meurt.
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Gilles Deleuze explique que « résister, c’est créer ».
De la même manière, Les gens se prennent de plus en plus en main, par rejet d’un système qui leur fait défaut mais aussi par rejet d’un projet sociétal qui leur fait défaut.
Politiquement, c’est un soucis pour les élus et les candidats de tous bords.
La pression, c’est toujours bon : c’est parce qu’on est porté par les habitants d’un territoire qu’on a envie de se surpasser et de donner encore plus. Allez Philippe, remets la tienne !