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LA VÉRITÉ EST-ELLE AILLEURS


Un ancien premier Ministre, déjeune avec l’un de ses amis, ancien ministre  passé à la concurrence  mais, cela n’est pas interdit. Il déjeune et parle de tout et de rien. Jusque là il n’y a aucun problème, sauf que celui qui a traversé la frontière reçoit des journalistes et leur  rapporte la conversation qu’il a eu ou qu’il aurait eu  avec son ancien chef.

Plusieurs  questions se posent :

Soit cette conversation n’a jamais eu lieu et l’ex sous ministre, passé à la concurrence, tente une manipulation, à son initiative ou à celle d’un donneur d’ordre ?

Soit cette conversation a eu lieu et il décide de se confier à des journalistes, sur son initiative ou sur celle d’un donneur d’ordre ?

Soit cette conversation a eu lieu, mais insipide et sans intérêt il décide d’en rajouter et de confier cela à des journalistes à son initiative ou sur instructions.

Il ne semble pas que l’enregistrement, effectué par les journalistes, ait reçu l’accord du secrétaire général donc :

Soit l’intéressé à une haute valeur de son rôle au sommet de l’état et il a voulu appeler l’attention des citoyens sur le comportement d’un ancien 1er Ministre, mais alors pourquoi a-t-il nié au début ?

Soit  il agissait sur ordre ?

Dans tous les cas de figure, les uns et les autres, ne sortent pas grandis et font un peu plus pour perdre le peu de confiance que nous avons encore en eux.

Pour qui se prennent ses gens qui ne sont que ce que nous en avons fait, et qui passent leur temps à nous mentir ?

-nous leur donnons un mandat et ils font l’inverse de ce que nous leur avons demandé. En vertu de quel principe?

-nous leur donnons un mandat pour exécuter nos instructions et non pas faire comme ils l’entendent. En vertu de quel principe?

-nous leur donnons un mandat avec des revenus pour qu’ils agissent dans notre intérêt et pas seulement pour le leur.

-nous ne leur donnons pas un mandat pour qu’ils nous mentent et se croit investis d’un pouvoir discrétionnaire, le temps des rois n’est plus.

Lorsque les actionnaires élisent le conseil d’administration et le président de leur société, s’il n’est pas à la hauteur, les actionnaires le démettent. Enfin c’est que l’on croit car en réalité les dérives de la politique touchent aussi notre économie et cela explique peut-être notre état de déliquescence.

Période  étrange dans lequel nous vivons..

Lisez l’article de M. Eric de Montgolfier :

http://www.lepoint.fr/invites-du-point/eric-de-montgolfier/eric-de-montgolfier-etrange-periode-10-11-2014-1879962_1451.php#xtor=CS3-190

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