Si, Si, c’est possible… « on » peut parler pour les autres sans leur demander leur avis.

Comme vous le savez la communauté de communes Livradois Porte d’Auvergne s’est prononcée favorablement à la proposition du Préfet de regrouper les communautés de communes de la vallée de la Dore (Pays d’Olliergues, Pays d’Ambert, Livradois Porte d’Auvergne et Pays d’Arlanc).

Inutile de dire que ceci insupporte messieurs Daurat et Fournet-Fayard qui sont prêts à tout pour s’opposer à cette fusion, au nom de la défense de « l’intérêt général » : nous nous en sommes déjà fait l’écho. Et bien, ils viennent d’écrire au Préfet (Jean-Claude, arrête de passer ton temps à écrire au préfet…), via le sous-préfet d’Ambert pour manifester leur opposition à ce projet et faire une contre-proposition, au nom de l’ensemble des communautés de communes, y compris… Livradois, Porte d’Auvergne  !

Enfin, quand je dis « on » ose tout, c’est presque tout : ils ne sont pas allés jusqu’à imiter ma signature… mais on est passé prêt… voici le document envoyé :

Courrier proposition alternative SDCI

Notez le logo de la communauté de communes Livradois Porte d’Auvergne en en-tête (c’est vrai que c’est mieux d’aller chercher aussi les communautés de communes voisines pour faire croire à l’unanimité… et puis, c’est vrai que le logo est sympa…)

Courrier intéressant par ailleurs car il permet de confirmer que la communauté de communes du Pays d’Ambert, après avoir soutenu le projet, jugé même trop peu ambitieux, le rejette aujourd’hui pour rester à la situation actuelle. On n’en est pas à un revirement prêt, mais nous y reviendrons.

Courrier intéressant aussi parce qu’il ment au sujet de la commune du Monestier, qui souhaite rejoindre Ambert, contrairement à ce qui est dit aussi.

Courrier intéressant enfin car désormais nous connaissons tous les méthodes employées par « on ».

Ambert au centre continuera à informer les habitants de l’arrondissement pour qu’ils jugent par eux-mêmes comme agissent ceux qui prétendent parler… en leurs noms (faites attention quand même à ce qu’ils vous font dire…).